- EAN13
- 9782213622736
- ISBN
- 978-2-213-62273-6
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 09/11/2005
- Collection
- Littérature française
- Nombre de pages
- 136
- Dimensions
- 23,5 x 16,5 x 1,5 cm
- Poids
- 414 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 846.5
- Fiches UNIMARC
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Je jure au Marquis de Sade, mon amant, de n'être jamais qu'à lui...
De Maurice Lever
Fayard
Littérature française
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Rien d?aussi sulfureux n?a jamais été publié sur la liaison du marquis de Sade avec sa jeune belle-soeur, Anne-Prospère de Launay, âgée de dix-sept ans et chanoinesse bénédictine. Après vingt années de patientes recherches, Maurice Lever a découvert enfin les lettres échangées entre les deux amants, enfouies jusqu?ici dans les archives familiales.
Liaison passionnée, scandaleuse, orageuse, où se jouent les aspirations du marquis à la rédemption par l?amour. Espoir brisé par sa propre infidélité, que la jeune femme ne pourra pardonner, et qui entraînera la rupture définitive. Abandonné à ses propres démons, l?auteur de Justine ne verra d?autre issue que dans la mort. Sa tentative de suicide demeure à ce jour la plus obsédante énigme de cette âme en déshérence.
Outre cette correspondance, paraissent ici pour la première fois six lettres du marquis à sa femme, révélant ses aspirations à la pureté, ainsi qu?un ardent désir de rachat. La stupéfaction une fois passée, il reste une poignante émotion devant ce cri arraché à la souffrance : « Oh ! puisqu?on me rend le chemin de la vertu si difficile, puisqu?on ne me l?offre qu?avec des épines, il faudra donc que je reste dans le vice ! »
Liaison passionnée, scandaleuse, orageuse, où se jouent les aspirations du marquis à la rédemption par l?amour. Espoir brisé par sa propre infidélité, que la jeune femme ne pourra pardonner, et qui entraînera la rupture définitive. Abandonné à ses propres démons, l?auteur de Justine ne verra d?autre issue que dans la mort. Sa tentative de suicide demeure à ce jour la plus obsédante énigme de cette âme en déshérence.
Outre cette correspondance, paraissent ici pour la première fois six lettres du marquis à sa femme, révélant ses aspirations à la pureté, ainsi qu?un ardent désir de rachat. La stupéfaction une fois passée, il reste une poignante émotion devant ce cri arraché à la souffrance : « Oh ! puisqu?on me rend le chemin de la vertu si difficile, puisqu?on ne me l?offre qu?avec des épines, il faudra donc que je reste dans le vice ! »
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