- EAN13
- 9782370890795
- ISBN
- 978-2-37089-079-5
- Éditeur
- Alexandrines
- Date de publication
- 19/11/2021
- Collection
- Le Paris des écrivains
- Nombre de pages
- 112
- Dimensions
- 15,2 x 10,5 x 0,8 cm
- Poids
- 86 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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En dépit des légendes, il n’existe pas plus parisien que Molière.
Il est né, a vécu une grande partie de sa vie et est mort dans le vieux Paris, entre l’Arsenal à l’est, le Louvre et le Palais-Royal à l’ouest, entre l’Hôtel de Bourgogne au nord, et le Quartier Latin au sud. Deux périodes parisiennes rythment sa vie : sa jeunesse, de sa naissance en 1622 jusqu’à son départ pour la province en 1645, et son retour comme comédien, chef de troupe et auteur dramatique, de 1658 à sa mort. Bien qu’il reste peu de traces concrètes – en dehors de quelques plaques commémoratives ou monuments – laissons planer notre imagination sur ces lieux, qui demeurent
habités par son souvenir. Retournons au xviie siècle, retrouvons le Paris grouillant de vie des Halles, du Pont-Neuf, glissons-nous sous les plafonds du Louvre et arpentons les rues du quartier du Palais-Royal, sur les pas de celui qui faisait dire en 1659 au faux marquis de Mascarille : « Pour moi, je tiens que hors de Paris, il n’y a point de salut pour les honnêtes gens ! »
Il est né, a vécu une grande partie de sa vie et est mort dans le vieux Paris, entre l’Arsenal à l’est, le Louvre et le Palais-Royal à l’ouest, entre l’Hôtel de Bourgogne au nord, et le Quartier Latin au sud. Deux périodes parisiennes rythment sa vie : sa jeunesse, de sa naissance en 1622 jusqu’à son départ pour la province en 1645, et son retour comme comédien, chef de troupe et auteur dramatique, de 1658 à sa mort. Bien qu’il reste peu de traces concrètes – en dehors de quelques plaques commémoratives ou monuments – laissons planer notre imagination sur ces lieux, qui demeurent
habités par son souvenir. Retournons au xviie siècle, retrouvons le Paris grouillant de vie des Halles, du Pont-Neuf, glissons-nous sous les plafonds du Louvre et arpentons les rues du quartier du Palais-Royal, sur les pas de celui qui faisait dire en 1659 au faux marquis de Mascarille : « Pour moi, je tiens que hors de Paris, il n’y a point de salut pour les honnêtes gens ! »
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