Autoportrait au visage absent, Écrits sur l'art (1981-2007)
EAN13
9782070786268
ISBN
978-2-07-078626-8
Éditeur
Gallimard
Date de publication
Collection
Blanche
Nombre de pages
480
Dimensions
20,5 x 14,2 x 2,5 cm
Poids
576 g
Langue
français
Code dewey
750
Fiches UNIMARC
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Autoportrait au visage absent

Écrits sur l'art (1981-2007)

De

Gallimard

Blanche

Indisponible
«Des écrits sur l'art : le vertige de l'éphémère opposé au vertige de la pérennité (supposée) de l'art. En fait, la permanence dans la durée de la passion des tableaux - et des sculptures -, quand elle éclate devant une œuvre, et dont il faut tenter, en vain parfois, d'expliquer la raison. L'espoir que des réflexions dispersées dans le temps - et dans les catalogues et dans les revues - en un quart de siècle, entre 1981 et aujourd'hui, valaient de n'être pas tout à fait oubliées. L'éventail couvre un peu plus de quatre générations, de la fin du XIXᵉ au début du XXIᵉ siècle, de Klimt à Kiefer, dans un registre large d'écriture, qui va de la simple note de voyage, fixant des moments, des souvenirs ou des propos qui, avec le temps, sont devenus précieux, sur Ensor, Balthus ou Louise Bourgeois par exemple, à l'essai plus ambitieux, sur Bonnard ou sur Giacometti. Un territoire particulier, une continuité spirituelle de l'Europe, faite d'attirances, de magnétismes, d'échanges. La Flandre d'abord, avec Ensor et Spilliaert, puis l'Italie avec Morandi, Martini et Music, l'Angleterre avec Bacon, Freud, Hockney, Mason, la France bien sûr, avec Alechinsky, Szafran... Des œuvres déjà historiques, du Symbolisme aux années 1960. Mais aussi des œuvres contemporaines, ne serait-ce que pour faire mentir la légende d'une critique passéiste : le dernier texte est consacré à un Italien d'aujoud'hui, Claudio Parmiggiani. La plupart de ces textes sont de circonstance : nés d'un coup de cœur, d'emballements, de découvertes jubilantes, remontant parfois à plus de vingt ans, quand on ne parlait guère encore de Spilliaert, de Freud ou de Gaston Lachaise. Il s'agissait de confirmer ici ces passions en republiant leur histoire et en marquant leur cohérence. Un territoire sentimental finalement, une certaine fidélité de l'œil dans la multiplication des rencontres.» Jean Clair.
«Des écrits sur l'art : le vertige de l'éphémère opposé au vertige de la pérennité (supposée) de l'art. En fait, la permanence dans la durée de la passion des tableaux - et des sculptures -, quand elle éclate devant une œuvre, et dont il faut tenter, en vain parfois, d'expliquer la raison.» Jean Clair.
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