- EAN13
- 9782846264341
- Éditeur
- Au Diable Vauvert
- Date de publication
- 15/05/2012
- Collection
- Littérature générale
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Autre version disponible
Yves Charnet a transformé une passion qui, comme beaucoup d’aficionados, le
conduit chaque été par le train sur la route des arènes, en errance et en
objet poétique. Avec ses Lettres à Juan Bautista, la figure du torero s’était
déjà installée comme celle d’un double du poète, au centre de sa quête du sens
et de soi. Trains, hôtels, femmes, attentes, gradins : la puissance du
spectacle taurin fait que regarder le torero des gradins, le suivre de
triomphes en échecs, le deviner, le guetter pour seulement l’entrevoir, place
l’écrivain en posture de voyeur de sa propre condition, et le torero en muse
de ses états d’âmes.Fragments dévoilés au rythme d’interrogations, de
réminiscences ou de dialogues volés, de voyages, de rencontres, de choses
banales, entre journal et prose… Il en résulte des pages sublimées par le
dialogue intime entre littérature et tauromachie. Un accès de l’absolu à
l’existence proche de « l’état de poésie » de Georges Haldas.
conduit chaque été par le train sur la route des arènes, en errance et en
objet poétique. Avec ses Lettres à Juan Bautista, la figure du torero s’était
déjà installée comme celle d’un double du poète, au centre de sa quête du sens
et de soi. Trains, hôtels, femmes, attentes, gradins : la puissance du
spectacle taurin fait que regarder le torero des gradins, le suivre de
triomphes en échecs, le deviner, le guetter pour seulement l’entrevoir, place
l’écrivain en posture de voyeur de sa propre condition, et le torero en muse
de ses états d’âmes.Fragments dévoilés au rythme d’interrogations, de
réminiscences ou de dialogues volés, de voyages, de rencontres, de choses
banales, entre journal et prose… Il en résulte des pages sublimées par le
dialogue intime entre littérature et tauromachie. Un accès de l’absolu à
l’existence proche de « l’état de poésie » de Georges Haldas.
S'identifier pour envoyer des commentaires.