- EAN13
- 9782717726923
- Éditeur
- Éditions de la Bibliothèque nationale de France
- Date de publication
- 04/09/2015
- Collection
- Conférences et Études
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Retour au Contrat naturel
Michel Serres
Éditions de la Bibliothèque nationale de France
Conférences et Études
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782717726923
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2.99
En 1990, paraissait chez François Bourin Le Contrat naturel (réédité en 1992
dans la collection Champs/Flammarion). Michel Serres s’y livrait à une
méditation sur les nouveaux devoirs que nous avons envers le monde que nous
habitons. Dans le présent texte, Retour au Contrat naturel, le philosophe
revient sur la problématique de son livre et sur le débat, actualisé en 1992 à
l’occasion de la conférence de Rio et de l’appel de Heidelberg qui
contribuèrent, chacun à leur manière, à donner une dimension planétaire au
souci écologique. À travers le litige qui opposa alors partisans d’un progrès
conditionné par le respect de la nature et les tenants d’un progrès conçu
comme la poursuite de la maîtrise technique, la pensée de la nature s’est
considérablement « dramatisée ». Pourquoi ? Quelle « fin de la nature » est-on
en train de vivre ? Faut-il en appeler à une nouvelle philosophie de notre
inscription dans le monde ?
dans la collection Champs/Flammarion). Michel Serres s’y livrait à une
méditation sur les nouveaux devoirs que nous avons envers le monde que nous
habitons. Dans le présent texte, Retour au Contrat naturel, le philosophe
revient sur la problématique de son livre et sur le débat, actualisé en 1992 à
l’occasion de la conférence de Rio et de l’appel de Heidelberg qui
contribuèrent, chacun à leur manière, à donner une dimension planétaire au
souci écologique. À travers le litige qui opposa alors partisans d’un progrès
conditionné par le respect de la nature et les tenants d’un progrès conçu
comme la poursuite de la maîtrise technique, la pensée de la nature s’est
considérablement « dramatisée ». Pourquoi ? Quelle « fin de la nature » est-on
en train de vivre ? Faut-il en appeler à une nouvelle philosophie de notre
inscription dans le monde ?
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