- EAN13
- 9782711753093
- Éditeur
- Vuibert
- Date de publication
- 2004
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782711753093
-
Fichier PDF, avec DRM Adobe
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
14.50 -
Fichier PDF, avec DRM Adobe
Si l'on veut connaître un savant du passé, c'est souvent sa correspondance qui
nous révèle les processus de sa pensée. Or, voici quelques années, on a
retrouvé toutes les lettres qu'Henri Lebesgue, un grand mathématicien français
de la première partie du XXe siècle, avait écrites entre 1901 et 1918 à Émile
Borel, autre très grand mathématicien travaillant dans le même domaine de
recherches. Une équipe de mathématiciens et historiens de mathématiques a
sélectionné 111 des 230 lettres pour retracer cette période extrêmement
féconde durant laquelle les deux hommes - tous deux anciens élèves de l'École
normale supérieure - élaboreront des pans entiers des mathématiques actuelles,
ce qui leur vaudra d'être professeurs à la Sorbonne, puis au Collège de France
et, enfin, élus à l'Académie des sciences, Borel en 1921 et Lebesgue, de
quatre ans son cadet, en 1922. Si, naturellement, les mathématiques tiennent
ici une grande place, Lebesgue y dévoile aussi sa vie privée, ses soucis
d'argent ou de promotion sociale et professionnelle, mais aussi les activités
et les amours de ses collègues.
nous révèle les processus de sa pensée. Or, voici quelques années, on a
retrouvé toutes les lettres qu'Henri Lebesgue, un grand mathématicien français
de la première partie du XXe siècle, avait écrites entre 1901 et 1918 à Émile
Borel, autre très grand mathématicien travaillant dans le même domaine de
recherches. Une équipe de mathématiciens et historiens de mathématiques a
sélectionné 111 des 230 lettres pour retracer cette période extrêmement
féconde durant laquelle les deux hommes - tous deux anciens élèves de l'École
normale supérieure - élaboreront des pans entiers des mathématiques actuelles,
ce qui leur vaudra d'être professeurs à la Sorbonne, puis au Collège de France
et, enfin, élus à l'Académie des sciences, Borel en 1921 et Lebesgue, de
quatre ans son cadet, en 1922. Si, naturellement, les mathématiques tiennent
ici une grande place, Lebesgue y dévoile aussi sa vie privée, ses soucis
d'argent ou de promotion sociale et professionnelle, mais aussi les activités
et les amours de ses collègues.
S'identifier pour envoyer des commentaires.