Le collier d’émeraude, Roman
EAN13
9782378779979
Éditeur
Le Lys Bleu Éditions
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Le collier d’émeraude

Roman

Le Lys Bleu Éditions

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782378779979
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    7.99

  • Aide EAN13 : 9782378779979
    • Fichier EPUB, avec DRM Adobe
      Partage

      6 appareils

    7.99

Autre version disponible

Marie-Line Breton, en 1766, vient de perdre sa mère. Elle lui a laissé un
petit carnet de notes, où elle va découvrir petit à petit l’histoire de celle-
ci, mais aussi celle de ses aïeux...

L’action se passe au 18ème siècle en l’Île-de-France devenue MAURICE depuis la
Révolution Française. Marie-Line Breton, en 1766, vient de perdre sa mère qui
lui a laissé un petit carnet de notes où elle va découvrir petit à petit
l’histoire de celle-ci, mais aussi celle de ses aïeux ayant dépensé des sommes
extraordinaires dans le jeu. Un collier d’émeraude a été perdu au fil du temps
et Marie-Line, convaincue que ce bien lui revient de droit, va partir à sa
recherche, assistée en cela de son époux avoué à Port-Louis, ainsi qu’avec
l’aide de l’un de ses frères, officier de la toute puissante Compagnie des
Indes. Nous assistons tout au long du récit à la vie de chacun des personnages
dans cette colonie royale, où le commerce du « bois d’ébène » est fructueux
pour les grands administrateurs de l’île, et certains colons et où le jeu fait
et défait les fortunes. C’est aussi, l’histoire mouvementée de cette course
inépuisable vers la vérité que recherche l’héroïne.

Un collier d’émeraude a été perdu au fil du temps et Marie-Line, convaincue
que ce bien lui revient de droit, part à sa recherche. Découvrez dans ce roman
historique le parcours mouvementé d'une course inépuisable vers la vérité au
sein d'une colonie.

EXTRAIT

Nos aïeux ont réussi à défricher la dixième partie de Maurice et nous
continuons de la cultiver en y semant froment, orge, avoine, riz, maïs et
millet. Une grande partie est réservée aux Noirs et est faite de manioc, seule
nourriture qu’ils acceptent d’avaler. Certains colons ont entrepris de faire
du sucre et du fort beau coton mais on ne peut labourer les terres à cause des
pierres la jonchant, alors beaucoup d’entre eux façonnent les champs à coup de
pioches en y jetant quelques grains dans les trous formés par celles-ci. Dès
qu’un champ se trouve moissonné, on y plante un autre grain. Les terres
récemment défrichées sont de bons rendements mais sont trop sollicitées.
Certains disent que c’est la faute des abattages de bois qui rend la terre
sèche au point de ne faire que de la poussière, terrain privilégié des fourmis
et de toutes sortes d’insectes nuisibles.
Heureusement, nous avons de beaux jardins. Je vous parlerai du nôtre un peu
plus en avant. La plupart des colons de nos amis y cultivent des légumes de
métropole en faisant venir des graines de France par les navires de la
Compagnie mais aussi provenant du Cap et de l’île Bourbon. Pourtant peu de
fruits ici peuvent venir à maturité.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Madeleine Arnold-Tétard s’est mise tardivement à l’écriture, n’ayant ,
jusqu’en 1995, écrit que des historiettes ou essais restés dans ses tiroirs.
Archiviste documentaliste de la ville de Meulan pendant toute sa carrière et
Historienne d’Art de formation, elle s’adonne tout naturellement à l’écriture,
et ce, de façon définitive peu après la retraite en 2002, et depuis, elle n’a
cessé de noircir des pages et des pages... Elle est l’auteure de plusieurs
ouvrages à succès.
S'identifier pour envoyer des commentaires.