- EAN13
- 9782369424918
- Éditeur
- Nouveau Monde éditions
- Date de publication
- 23/02/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782369424918
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
4.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
Autre version disponible
Nous ne sommes pas tous égaux devant la justice. Trop souvent, les tribunaux
font preuve d'un remarquable laxisme quand les délinquants sont des hommes
politiques. L'Angolagate, les affaires Karachi et Clearstream sont autant
d'exemples de cette impunité.Premier livre à attaquer l'hypocrisie du système
judiciaire français, cet ouvrage présente une analyse inédite des « affaires
» de ces dernières décennies. Il montre combien l'exercice du droit procède
d'une mise en scène et son interprétation de l'arbitraire des juges. Car
l'indépendance de la justice est doublement fragilisée : chaque phase de la
procédure permet de protéger les justiciables privilégiés et chaque faille
dans la séparation des pouvoirs offre aux magistrats de formidables
avancements de carrière. Singulièrement, ceux qui atteignent les plus hautes
fonctions ont su prendre les « bonnes » décisions dans leurs emplois
précédents. À l'inverse, les juges opiniâtres qui n'écoutent pas les conseils
de leur hiérarchie vont au-devant des ennuis...En préservant l'avenir de
nombreux hommes d'État par des peines insignifiantes, les magistrats
conduisent les citoyens à désespérer non seulement de leur personnel
politique, mais également de leur justice. Ce livre appelle à un sursaut : la
condamnation des coupables paraît indispensable pour porter crédit à la relaxe
des innocents et redonner aux Français confiance dans leurs institutions.
Vincent Le Coq est maître de conférences en droit public depuis septembre
2000, après avoir exercé dix ans en tant qu'avocat. Il a notamment publié,
avec Anne-Sophie Poiroux, Les notaires sous l'Occupation (Nouveau Monde
éditions, 2015).
font preuve d'un remarquable laxisme quand les délinquants sont des hommes
politiques. L'Angolagate, les affaires Karachi et Clearstream sont autant
d'exemples de cette impunité.Premier livre à attaquer l'hypocrisie du système
judiciaire français, cet ouvrage présente une analyse inédite des « affaires
» de ces dernières décennies. Il montre combien l'exercice du droit procède
d'une mise en scène et son interprétation de l'arbitraire des juges. Car
l'indépendance de la justice est doublement fragilisée : chaque phase de la
procédure permet de protéger les justiciables privilégiés et chaque faille
dans la séparation des pouvoirs offre aux magistrats de formidables
avancements de carrière. Singulièrement, ceux qui atteignent les plus hautes
fonctions ont su prendre les « bonnes » décisions dans leurs emplois
précédents. À l'inverse, les juges opiniâtres qui n'écoutent pas les conseils
de leur hiérarchie vont au-devant des ennuis...En préservant l'avenir de
nombreux hommes d'État par des peines insignifiantes, les magistrats
conduisent les citoyens à désespérer non seulement de leur personnel
politique, mais également de leur justice. Ce livre appelle à un sursaut : la
condamnation des coupables paraît indispensable pour porter crédit à la relaxe
des innocents et redonner aux Français confiance dans leurs institutions.
Vincent Le Coq est maître de conférences en droit public depuis septembre
2000, après avoir exercé dix ans en tant qu'avocat. Il a notamment publié,
avec Anne-Sophie Poiroux, Les notaires sous l'Occupation (Nouveau Monde
éditions, 2015).
S'identifier pour envoyer des commentaires.