- EAN13
- 9782875584342
- ISBN
- 978-2-87558-434-2
- Éditeur
- Presses universitaires de Louvain
- Date de publication
- 12/10/2016
- Collection
- THESES DE LA FA
- Nombre de pages
- 640
- Dimensions
- 24 x 16 cm
- Poids
- 1003 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Déchets de construction, matières à conception
Analyse des stocks et flux de matières dans le cadre des opérations de rénovation énergétique en Région de Bruxelles-Capitale
Émilie Gobbo
Presses universitaires de Louvain
Theses De La Fa
Offres
La thèse veut répondre à une problématique d'actualité: promouvoir une gestion
efficiente de nos ressources par l’économie et la préservation de ces
dernières ainsi que par la réduction de la production de déchets et leur
valorisation. Parallèlement, la rénovation du parc immobilier, ancien et
énergivore, apparait comme essentielle au regard du contexte énergétique
actuel. Outre le gain énergétique réalisé durant l’occupation du bâtiment, la
rénovation induit également une consommation de matières premières et une
génération de déchets importantes dont les impacts sont peu, voire pas
considérés dans l’élaboration des projets. Il est donc nécessaire d’ajouter à
la problématique énergétique, la question de la matière comprenant les
matériaux et déchets comme matières valorisables. Dans ce contexte,
l’hypothèse formulée par la présente thèse est de considérer le bâtiment comme
un gisement de matériaux susceptibles de représenter de potentielles
ressources matérielles.
Dans ce contexte, la recherche propose d’étudier la rénovation énergétique
actuelle définie comme «exemplaire » en région bruxelloise: d’une part, en
termes de tendances d’intervention, d’autre part en analysant l’impact de
l’opération sur les stocks et flux matériels engendrés, appelés également
bilans matières. Ensuite, pour déterminer le caractère valorisable des stocks
identifiés, elle développe une méthode d’évaluation du potentiel de
valorisation des éléments construits (appelée valorisabilité), qu’elle compare
au bilan environnemental de ces derniers. Enfin, une réflexion est réalisée
dans une optique générale de bouclage des flux sur les opportunités
d’amélioration et les freins à la valorisation.
efficiente de nos ressources par l’économie et la préservation de ces
dernières ainsi que par la réduction de la production de déchets et leur
valorisation. Parallèlement, la rénovation du parc immobilier, ancien et
énergivore, apparait comme essentielle au regard du contexte énergétique
actuel. Outre le gain énergétique réalisé durant l’occupation du bâtiment, la
rénovation induit également une consommation de matières premières et une
génération de déchets importantes dont les impacts sont peu, voire pas
considérés dans l’élaboration des projets. Il est donc nécessaire d’ajouter à
la problématique énergétique, la question de la matière comprenant les
matériaux et déchets comme matières valorisables. Dans ce contexte,
l’hypothèse formulée par la présente thèse est de considérer le bâtiment comme
un gisement de matériaux susceptibles de représenter de potentielles
ressources matérielles.
Dans ce contexte, la recherche propose d’étudier la rénovation énergétique
actuelle définie comme «exemplaire » en région bruxelloise: d’une part, en
termes de tendances d’intervention, d’autre part en analysant l’impact de
l’opération sur les stocks et flux matériels engendrés, appelés également
bilans matières. Ensuite, pour déterminer le caractère valorisable des stocks
identifiés, elle développe une méthode d’évaluation du potentiel de
valorisation des éléments construits (appelée valorisabilité), qu’elle compare
au bilan environnemental de ces derniers. Enfin, une réflexion est réalisée
dans une optique générale de bouclage des flux sur les opportunités
d’amélioration et les freins à la valorisation.
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