Trois essais sur Paul Valéry, Valéry et l'utilisation du monde sensible, Edgar Poe et Valéry, l'être vivant selon Valéry
EAN13
9791041010974
Éditeur
FeniXX réédition numérique (Gallimard)
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
français
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Trois essais sur Paul Valéry

Valéry et l'utilisation du monde sensible, Edgar Poe et Valéry, l'être vivant selon Valéry

FeniXX réédition numérique (Gallimard)

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9791041010974
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    7.49

  • Aide EAN13 : 9791041044306
    • Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
    7.49
Vers 1935, un critique étranger pouvait écrire à peu près ceci : “Paul Valéry,
qui a abordé la littérature dès 1892, est resté longtemps peu connu ; depuis
qu’il a atteint la célébrité, il est devenu un inconnu”. Le livre de Madame
Lucienne Julien Cain, "Trois essais sur Paul Valéry", témoigne au contraire
d’une connaissance profonde de toute l’œuvre du grand écrivain, connaissance
développée et enrichie par de nombreux entretiens. Mme Lucienne Julien Cain,
qui a connu Valéry durant de longues années, nous le montre au hasard de
conversations et de promenades, tirant des objets et des ensembles les plus
divers, une image et une pensée toujours inattendues. Les photographies, qui
illustrent le texte, représentent le poète en mouvement, poursuivant du
regard, dans ces différents décors, le fil de sa méditation. Le premier essai,
sous le titre de "Valéry et l’utilisation du monde sensible", traite
précisément des rapports que Valéry a toujours entretenus avec les modes de sa
perception, avec sa vision, et aussi avec son langage qu’il a toujours
considéré comme un mode de la sensibilité. La deuxième étude, intitulée "Edgar
Poe et Valéry", est une analyse d’après des textes de Valéry lui-même, des
liens qui, jusqu’à la fin de sa vie, unirent l’auteur de "Charmes" à la
philosophie et à l’esthétique du poète du "Corbeau". Enfin, dans le troisième
de ses récits, "L’être vivant selon Valéry", Mme Lucienne Julien Cain nous
démontre qu’en suivant - depuis son degré inférieur jusqu’à son niveau le plus
élevé - l’expérience de la sensibilité, c’est bien à Valéry qu’on arrive et au
système vivant qu’il a créé. Le livre ainsi composé est donc le récit d’une
aventure, et c’est comme tel qu’il faut le lire, en tant que l’aventure d’un
esprit aux prises avec lui-même, et qui pratique exclusivement la recherche
des idées, comme un exercice violent et dangereux.
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