- EAN13
- 9782897127862
- Éditeur
- Mémoire d'encrier
- Date de publication
- 07/06/2021
- Collection
- Roman/Récit
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
José Mailhot voyait son dernier livre, Shushei au pays des Innus, comme « le
testament d’une génération », dit Rodney Saint-Éloi. Elle y aborde longuement
sa relation avec An Antane Kapesh. Elle y raconte aussi ses premiers cours
d’innu auprès d’un jeune homme de Schefferville appelé Shanemin. « Il m’a
fourni pas moins de 27 termes dont le dénominateur commun était “traverser la
rivière” », écrit-elle. – Caroline Montpetit, Le Devoir Serge Bouchard, Sylvie
Vincent, José Mailhot et Rémi Savard avaient compris qu’il n’y a nulle
réconciliation possible sans fraternité ni amitié. Puisse leur œuvre en avoir
fécondé de nouvelles, à la hauteur des espérances d’une compréhension
meilleure des uns et des autres que portaient leurs savoirs. – Jean-François
Nadeau, Le Devoir Nous avons perdu quatre anthropologues (Mailhot, Bouchard,
Rémi Savard et Sylvie Vincent) qui se sont intéressés de près aux cultures
autochtones, ce qui en a fait des marginaux dans leur domaine à l’époque. –
Chantal Guy, La Presse
testament d’une génération », dit Rodney Saint-Éloi. Elle y aborde longuement
sa relation avec An Antane Kapesh. Elle y raconte aussi ses premiers cours
d’innu auprès d’un jeune homme de Schefferville appelé Shanemin. « Il m’a
fourni pas moins de 27 termes dont le dénominateur commun était “traverser la
rivière” », écrit-elle. – Caroline Montpetit, Le Devoir Serge Bouchard, Sylvie
Vincent, José Mailhot et Rémi Savard avaient compris qu’il n’y a nulle
réconciliation possible sans fraternité ni amitié. Puisse leur œuvre en avoir
fécondé de nouvelles, à la hauteur des espérances d’une compréhension
meilleure des uns et des autres que portaient leurs savoirs. – Jean-François
Nadeau, Le Devoir Nous avons perdu quatre anthropologues (Mailhot, Bouchard,
Rémi Savard et Sylvie Vincent) qui se sont intéressés de près aux cultures
autochtones, ce qui en a fait des marginaux dans leur domaine à l’époque. –
Chantal Guy, La Presse
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