- EAN13
- 9782848191522
- Éditeur
- Éditions Créer
- Date de publication
- 30/10/2002
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782848191522
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Ce qu'il faut comprendre c'est que ce sont les autres qui sont fous.
Moi, tout au plus, je suis expéditif.
Je veux bien croire que pousser une vieille femme dans les bras de la
dépression ou faire passer un intrigant de vie à trépas manque de tact. Mais,
socialement, à ma décharge, on n'a rien perdu.
Alors quand s'offre à moi la chance d'être reconnu de mon art, il faut que je
la saisisse. Peu importe le prix. Ma seule erreur sera de ne pas admettre qui
j'avais en face de moi.
« Du ministère où il travaille, le narrateur est nommé au poste de directeur
d'une maison pour handicapés. Pour échapper à son quotidien, il se réfugie
dans la peinture. Ce qui le conduit à offrir à une jeune peintre de s'occuper
de ses pensionnaires. Parmi lesquels se révèle un véritable artiste. Le
directeur se sent « cocufié ».
Et c'est la mise au point d'une mystification dont il serait dommage de
révéler la progression et la construction tant Camille Quentin se montre
habile dans la construction de son premier roman dont le style, autre qualité,
est cinglant, par son rythme comme par son humour aux sarcasmes mesurés.»
P.R.L.
Le Monde des Livres du 14 février 2003
Moi, tout au plus, je suis expéditif.
Je veux bien croire que pousser une vieille femme dans les bras de la
dépression ou faire passer un intrigant de vie à trépas manque de tact. Mais,
socialement, à ma décharge, on n'a rien perdu.
Alors quand s'offre à moi la chance d'être reconnu de mon art, il faut que je
la saisisse. Peu importe le prix. Ma seule erreur sera de ne pas admettre qui
j'avais en face de moi.
« Du ministère où il travaille, le narrateur est nommé au poste de directeur
d'une maison pour handicapés. Pour échapper à son quotidien, il se réfugie
dans la peinture. Ce qui le conduit à offrir à une jeune peintre de s'occuper
de ses pensionnaires. Parmi lesquels se révèle un véritable artiste. Le
directeur se sent « cocufié ».
Et c'est la mise au point d'une mystification dont il serait dommage de
révéler la progression et la construction tant Camille Quentin se montre
habile dans la construction de son premier roman dont le style, autre qualité,
est cinglant, par son rythme comme par son humour aux sarcasmes mesurés.»
P.R.L.
Le Monde des Livres du 14 février 2003
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