Réponse au gentilhomme savoisien ne se nommant pas, précédée de la Lettre d'un gentilhomme savoisien (1598)
EAN13
9782600347471
Éditeur
Droz
Date de publication
Collection
Textes Littéraires Français
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Réponse au gentilhomme savoisien ne se nommant pas, précédée de la Lettre d'un gentilhomme savoisien (1598)

Droz

Textes Littéraires Français

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En 1597, le jésuite Du Puy fit courir le bruit en France et ailleurs que Bèze
était mort, qu’il avait été converti au catholicisme peu avant sa mort, et que
toute la ville de Genève avait suivi son exemple. D’où une réplique des
pasteurs de Genève, connue sous le nom de Beza redivivus, dénonçant la fausse
nouvelle. Et voici qu’un gentilhomme Savoisien, le sieur d’Avully, voulut
prendre la défense des jésuites, en soutenant que le faux bruit de la mort de
Bèze était une invention des pasteurs de Genève, – un « mensonge ministral » –
pour noircir les jésuites. Cette surenchère d’imagination produisit une
brochure amusante, pleine d’anecdotes curieuses, décrivant notamment les
portraits que Bèze collectionnait dans son antichambre, représentant ses amis,
sans s’oublier lui-même. A quoi Bèze répliqua par une Réponse au gentilhomme
Savoisien ne se nommant pas, pour donner à ce chasseur entouré d’une meute de
chiens, une bonne leçon de théologie. Il s’offre même le plaisir de corriger
aimablement la théologie catholique de son adversaire, à l’aide de quelques
petits vers d’Octavien de Saint-Gelais. Dans ces deux textes, Calvin, mais
aussi Rabelais et Marot ne sont pas loin...
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