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Conseillé par Alex-Mot-à-Mots2 septembre 2016
amour, violence
Quand on ouvre un roman d’Antonio Moresco, il faut bien avoir en tête que l’auteur nous emmène dans un monde à part. Et dans cet ouvrage, le monde est complètement à part. On y croise une tueuse-prostituée qui parle russe et notre héros, complètement déphasé.
L’ouvrage s’ouvre et se clôt sur un incendie ; et tout le long du roman, ce sont les armes qui font feu.
Avec sa langue éminemment poétique, Antonio Moresco arriverait presque à me faire aimer les descriptions d’embuscades qui tournent mal.
Heureusement, au milieu de toute cette violence, il y a le héros qui voue un amour éperdue à cette femme qu’il a rencontré par hasard et qu’il suit aveuglément.
J’ai tout de même moins accrochée qu’aux précédents romans de l’auteur. Disons que celui-ci est différent.
L’image que je retiendrai :
Celle des deux héros dans le pays des morts. Quand je vous dis que le monde de l’auteur est à part….
http://alexmotamots.fr/?p=2061