Augustin, curieux de nature et ayant le don de la synthèse, a créé son propre métier : il fait des recherches et rédige des dossiers pour ceux qui n’ont le temps ou pas la compétence.
Il travaille essentiellement dans la bibliothèque de sa ville. C’est d’ailleurs pour ce bâtiments prestigieux qu’il s’est installé à Horcaviot.
Son quotidien est une routine et il est heureux comme ça.
Mais sa vie est bouleversée par un petit rien, un pull disparu et mystérieusement réapparu. D’autres petits signes le mettent sur la piste d’un trésor : un portrait de femme, un poème et une lettre du XVIIeme siècle en gascon… cette inconnue l’entraine dans une enquête historique qui va l’emmener loin … et va faire resurgir le passé de sa propre famille, qu’il connait peu.
On est happé par l’histoire, entre paranormal et réaliste.
Le Cap est la ville refuge pour tous les Africains meurtris qui doivent quitter un pays en guerre ou un pays où sévit la famine.
Skyline est le quartier du Cap le plus pauvre qui les accueille tous.
La narratrice, une jeune ado, raconte son quotidien, avec sa mère, inexistante, sa sœur et tous les habitants de l’immeuble, aux horizons les plus variés : un couple d’aveugles, une vieille dame allemande, des réfugiés, des travestis, et Bernard, survivant de la guerre du Mozambique.
Chaque chapitre se termine par la description d’un tableau, dont on apprendra à la fin du livre qui les a peints.
Alex, devenu brusquement orphelin, doit quitter son Connecticut natal pour rentrer en France chez son oncle … dont il ignorait l’existence !
Ses premières impressions sur Paris sont très négatives, la ville est grise, son oncle très distant, son lycée nul … petit à petit il part à la conquête de la langue, d’amis et se pose la question : qui était vraiment son père adoré, qui ne lui a jamais parlé de la France, de son frère jumeau, de sa vie avant l’Amérique…
Boston , été 1974. La ségrégation est quotidienne et amplifiée cet été-là car à la rentrée des lycéens du quartier noir vont venir au lycée de South Boston, le quartier irlandais, échange réciproque.
La fille de Mary Pat Fennessy est concernée par cet échange … mais un soir, après être sortie avec ses amis, Jules ne rentre pas …
Mary Pat part à sa recherche, avec la rage au ventre de découvrir la vérité ; et la vérité n’est pas belle à voir …
Pègre locale, tension raciale, alcoolisme et drogue, armes à feu et pauvreté, le cocktail est explosif et brillamment orchestré par l’auteur qui nous délivre un très beau portrait de femme en colère.
Entre nostalgie et désillusion, Soneri revient pour notre plus grand bonheur !
Deux morts coup sur coup viennent tirer le commissaire Soneri de sa léthargie hivernale.
Un pendu, mystérieux inconnu sans papier d’identité, et le meurtre à arme blanche de Boselli, ancien leader du mouvement Soixante-huit parmesan, à l’époque où l’Italie se scindait entre communistes et fascistes.
En creusant dans la vie de Boselli pour essayer de relier d’infimes indices, Soneri remonte aussi le fil de ses souvenirs…