- EAN13
- 9782264012838
- ISBN
- 978-2-264-01283-8
- Éditeur
- 10-18
- Date de publication
- 08/01/1993
- Collection
- Littérature étrangère (UGE 002326)
- Nombre de pages
- 256
- Dimensions
- 17,7 x 10,8 x 2 cm
- Poids
- 174 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 823.912
- Fiches UNIMARC
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Un drame familial sous le vernis des moeurs respectables
Juste avant de mourir, Andrew Stace rédige une lettre à ses enfants, Christian et Sofia. Bien que le premier ne soit que son fils adoptif, il est contre leur mariage. Pour continuer à vivre leur amour, le couple laissera la lettre intacte. Vingt-sept ans plus tard, voyant sa vie le quitter, Christian se décide enfin à lire la lettre de son père... Telle une boîte de Pandore, elle s'avèrera annonciatrice d'un cataclysme pour sa famille, et tout son entourage L'un des chefs-d'œuvre d'Ivy Compton-Burnett (1884-1969), qui, telle une entomologiste, a observé de son fauteuil la lente extinction des insectes qui forment la société victorienne.
" On se croirait dans un Dallas version britannique et victorienne, ce qui prouve que les scénaristes américains n'ont rien inventé : Ivy Compton-Burnett, bien avant eux, avait su fouiner derrière les mots suavement perfides et les façades d'amabilité - et de respectabilité - des riches et des puissants. " Christophe Mercier, Le Figaro
Traduit de l'anglais par Lola Tranec
Juste avant de mourir, Andrew Stace rédige une lettre à ses enfants, Christian et Sofia. Bien que le premier ne soit que son fils adoptif, il est contre leur mariage. Pour continuer à vivre leur amour, le couple laissera la lettre intacte. Vingt-sept ans plus tard, voyant sa vie le quitter, Christian se décide enfin à lire la lettre de son père... Telle une boîte de Pandore, elle s'avèrera annonciatrice d'un cataclysme pour sa famille, et tout son entourage L'un des chefs-d'œuvre d'Ivy Compton-Burnett (1884-1969), qui, telle une entomologiste, a observé de son fauteuil la lente extinction des insectes qui forment la société victorienne.
" On se croirait dans un Dallas version britannique et victorienne, ce qui prouve que les scénaristes américains n'ont rien inventé : Ivy Compton-Burnett, bien avant eux, avait su fouiner derrière les mots suavement perfides et les façades d'amabilité - et de respectabilité - des riches et des puissants. " Christophe Mercier, Le Figaro
Traduit de l'anglais par Lola Tranec
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