- EAN13
- 9782130504016
- ISBN
- 978-2-13-050401-6
- Éditeur
- Presses universitaires de France
- Date de publication
- 03/11/2000
- Collection
- Bibliothèque de psychanalyse
- Nombre de pages
- 592
- Dimensions
- 24 x 15,5 x 3 cm
- Poids
- 920 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 150.195
- Fiches UNIMARC
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Dictionnaire de la pensée kleinienne
De Robert Dayles Hinshelwood
Dirigé par Jean Laplanche
Édité par Jacqueline Parant
Presses universitaires de France
Bibliothèque de psychanalyse
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S'inspirant et prenant modèle sur le travail de J. Laplanche et J.-B. Pontalis concernant les idées fondatrices de Freud réalisé dans le "Vocabulaire de psychanalyse, l'auteur retrace le développement de ces idées chez Melanie Klein et ses successeurs. Lors d'une réunion conjointe des Sociétés britannique et française de Paris en juin 1939, Anna Freud présenta sa première communication. Melanie Klein prit alors conscience qu'elle devait établir son propre groupe de disciples qui devint le Groupe kleinien au sein de la Société britannique de psychanalyse. Un style d'interprétation kleinien, fréquemment dénoncé par les autres psychanalystes, apparut. Il contribua à élaborer une théorie influente sur la schizophrénie. Les idées de Melanie Klein furent largement étudiées et adoptées en Amérique du Sud et aussi en Italie. En Angleterre, l'interprétation actuelle met l'accent sur les processus du transfert / contre-transfert. En France, Lacan s'y est interressé. Les contraintes linguistiques du français, moins riche que le vocabulaire anglais dans lequel il existe un nombre important de concepts distincts d'une grande subtilité, ont peut être induit l'idée d'un manque de subtilitéde la pensée kleinienne. Un préjugé que le présent ouvrage permettra de corriger. "Les concepts kleiniens portent sur des éléments très primitifs de l'esprit humain. Une grande partie du caractère difficilement accessible de la pensée kleinienne provient non seulement du fait que sa formulation repose sur les expériences personnelles du patient, mais aussi parce que ces expériences sont très éloignées de la pensée verbale consciente et très difficiles à communiquer d'une manière vérifiable en dehors de l'association particulière patient-analyste." (Introduction de l'auteur)Les concepts kleiniens existent maintenant par opposition à la psychologie du moi, actuellement tradition dominante dérivée de la psychanalyse freudienne classique.
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