- EAN13
- 9791254600634
- Éditeur
- Cinq continents
- Date de publication
- 15/11/2024
- Nombre de pages
- 364
- Dimensions
- 23 x 17,1 x 0,1 cm
- Poids
- 1026 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Fabienne Verdier Passenger of silence
My Quest for the Ancient Arts in Post-cultural Revolution China
Fabienne Verdier
Cinq continents
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Une artiste brave la Révolution Culturelle pour apprendre les secrets de la peinture chinoise
Était-il vraiment raisonnable de tout laisser tomber du jour au lendemain pour s’aventurer seule dans les profondeurs de la Chine communiste à la recherche des secrets oubliés de l’art chinois ancien ? Fabienne Verdier, brillante étudiante aux Beaux-Arts au début des années 1980, ne s’est même pas posé la question, tant elle brûlait du désir d’apprendre l’art de la peinture et de la calligraphie classiques, que la Révolution culturelle s’était ingéniée à détruire.
Et lorsque la jeune étrangère perdue au milieu du Sichuan se trouva dans une école d’art dirigée par le Parti, elle était déterminée à prendre son parti de la situation – l’obstacle de la langue, la méfiance des Chinois, l’insupportable absence d’intimité, l’omniprésence de la misère, de la crasse et de la maladie, la nature inquisitoriale du système bureaucratique – et à tirer mentalement un trait sur l’Occident. Elle y eut néanmoins pour maîtres de grands artistes, méprisés et marginalisés par le régime, mais qui l’initièrent aux secrets d’une forme d’art ancestrale.
Cette expérience unique s’est muée en un véritable récit d’aventure, dont l’aboutissement est un passionnant corpus d’œuvres combinant inspiration extrême-orientale et contemporanéité, comme l’illustre son extraordinaire livre d’artiste L’unique trait de pinceau (Paris, Albin Michel). Le présent ouvrage en langue anglaise, à la fois autobiographique et journal de voyage, constitue une version enrichie de l’original publié chez Albin Michel, notamment par l’ajout de photographies en couleurs, ainsi que d’un index complet et d’un glossaire.
Était-il vraiment raisonnable de tout laisser tomber du jour au lendemain pour s’aventurer seule dans les profondeurs de la Chine communiste à la recherche des secrets oubliés de l’art chinois ancien ? Fabienne Verdier, brillante étudiante aux Beaux-Arts au début des années 1980, ne s’est même pas posé la question, tant elle brûlait du désir d’apprendre l’art de la peinture et de la calligraphie classiques, que la Révolution culturelle s’était ingéniée à détruire.
Et lorsque la jeune étrangère perdue au milieu du Sichuan se trouva dans une école d’art dirigée par le Parti, elle était déterminée à prendre son parti de la situation – l’obstacle de la langue, la méfiance des Chinois, l’insupportable absence d’intimité, l’omniprésence de la misère, de la crasse et de la maladie, la nature inquisitoriale du système bureaucratique – et à tirer mentalement un trait sur l’Occident. Elle y eut néanmoins pour maîtres de grands artistes, méprisés et marginalisés par le régime, mais qui l’initièrent aux secrets d’une forme d’art ancestrale.
Cette expérience unique s’est muée en un véritable récit d’aventure, dont l’aboutissement est un passionnant corpus d’œuvres combinant inspiration extrême-orientale et contemporanéité, comme l’illustre son extraordinaire livre d’artiste L’unique trait de pinceau (Paris, Albin Michel). Le présent ouvrage en langue anglaise, à la fois autobiographique et journal de voyage, constitue une version enrichie de l’original publié chez Albin Michel, notamment par l’ajout de photographies en couleurs, ainsi que d’un index complet et d’un glossaire.
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