- EAN13
- 9782352213871
- ISBN
- 978-2-35221-387-1
- Éditeur
- Guérin
- Date de publication
- 24/08/2023
- Collection
- Petite Collection (1)
- Nombre de pages
- 116
- Dimensions
- 21,2 x 15,5 x 1,3 cm
- Poids
- 235 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
L'homme qui vivait haut - La passion du docteur Jaeger
Prix Le Temps retrouvé 2023 2023
De Virginie Troussier
Guérin
Petite Collection
Offres
-
19.90
Autre version disponible
Virginie Troussier enquête sur la disparition en haute montagne du médecin alpiniste Nicolas Jaeger.
Il était médecin, major de sa promotion de guides, l’un des plus brillants alpinistes de sa génération. En 1978, Nicolas Jaeger fut l’un des trois premiers Français à fouler le sommet de l’Everest. Mais plutôt que de cueillir les lauriers de la gloire, il partit en Amérique latine planter sa tente au sommet du Huascaran, à 6 700 mètres d’altitude : le docteur Jaeger voulait prouver à la médecine et à l’alpinisme que ses très longs séjours dans l’oxygène rare lui apportaient une « superacclimatation » et lui donneraient la clé d’exploits inédits en haute altitude. Il partit en solitaire vers l’immense face sud du Lhotse et disparut à jamais.
Jaeger, figure énigmatique et pudique, ne se dévoilait qu’à demi dans ses Carnets de solitude rédigés en fumant un paquet de Gitanes par jour pendant son séjour solitaire de deux mois au sommet du Huascaran. Virginie Troussier remonte le cours de sa vie et de ses pensées pour comprendre ce qui le jette, à 33 ans, vers la paroi la plus dure du monde, où sa trace se perd à près de 8 000 mètres d’altitude.
Il était médecin, major de sa promotion de guides, l’un des plus brillants alpinistes de sa génération. En 1978, Nicolas Jaeger fut l’un des trois premiers Français à fouler le sommet de l’Everest. Mais plutôt que de cueillir les lauriers de la gloire, il partit en Amérique latine planter sa tente au sommet du Huascaran, à 6 700 mètres d’altitude : le docteur Jaeger voulait prouver à la médecine et à l’alpinisme que ses très longs séjours dans l’oxygène rare lui apportaient une « superacclimatation » et lui donneraient la clé d’exploits inédits en haute altitude. Il partit en solitaire vers l’immense face sud du Lhotse et disparut à jamais.
Jaeger, figure énigmatique et pudique, ne se dévoilait qu’à demi dans ses Carnets de solitude rédigés en fumant un paquet de Gitanes par jour pendant son séjour solitaire de deux mois au sommet du Huascaran. Virginie Troussier remonte le cours de sa vie et de ses pensées pour comprendre ce qui le jette, à 33 ans, vers la paroi la plus dure du monde, où sa trace se perd à près de 8 000 mètres d’altitude.
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