- EAN13
- 9782376660651
- ISBN
- 978-2-37666-065-1
- Éditeur
- Norma
- Date de publication
- 07/2022
- Nombre de pages
- 166
- Dimensions
- 29,1 x 24,3 x 2,1 cm
- Poids
- 1030 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Ayman Baalbaki face au KO / facing KO
Paul Ardenne, Philippe Dagen, Jean-Louis Pradel, Thierry Savatier, Nayla Tamraz
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Choisi pour la 59e Biennale de Venise, afin de représenter la création contemporaine au Pavillon du Liban, Ayman Baalbaki est un artiste libanais né à Beyrouth en 1975. Il grandit au sein d’une famille tournée vers l’art : son père et son oncle, étant eux-mêmes artistes. Suivant la même voix, il se forme d’abord à l’Institut des Beaux-arts de l’université libanaise de Beyrouth, puis à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris. Cinq années après son arrivée en France, il reçoit la médaille d’argent en peinture aux Jeux de la francophonie et participe ensuite à plusieurs expositions à travers le monde. Liban, France, Grande-Bretagne, Argentine, Égypte ou encore Niger, sont autant de pays accueillant les oeuvres de l’artiste.
Ses productions des dix dernières années ont été compilées à travers cet ouvrage inédit, édité en français, anglais et arabe. Les auteurs s’attachent à décrypter ses peintures et installations, traversées par des problématiques sociétales propres au Liban : guerre, révolte avortée, faillite politique comme financière, tragédie du port de Beyrouth ou encore pandémie. L’artiste peint des portraits anonymes de ses contemporains, devenus aujourd’hui des symboles du Moyen- Orient. Il représente la ville, ses bâtiments, dressés, mais aussi en ruines. Son art se veut éclatant, dynamique et texturé.
Ses productions des dix dernières années ont été compilées à travers cet ouvrage inédit, édité en français, anglais et arabe. Les auteurs s’attachent à décrypter ses peintures et installations, traversées par des problématiques sociétales propres au Liban : guerre, révolte avortée, faillite politique comme financière, tragédie du port de Beyrouth ou encore pandémie. L’artiste peint des portraits anonymes de ses contemporains, devenus aujourd’hui des symboles du Moyen- Orient. Il représente la ville, ses bâtiments, dressés, mais aussi en ruines. Son art se veut éclatant, dynamique et texturé.
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