- Éditeur
- Les éditions du Cerf
- Date de publication
- 24/09/2020
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
- AideEAN13 : 9782204138734
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
16.99
Autre version disponible
Papier - Cerf 25,00
Retour sur l'affaire, qui depuis deux siècles, divise la France. Mais ni
plaidoyer idéologique, ni relation historique, ce livre consiste dans une
véritable instruction juridique selon les critères mêmes de la justice
internationale. La réparation d'un trou béant dans notre mémoire.
Pourquoi c'est un génocide.
Pourquoi il n'est pas reconnu.
Pourquoi et comment il devrait l'être.
Mars 1793 : la Vendée se soulève pour défendre ses " bons prêtres " et se bat
pour le retour d'un roi qui protégerait cette religion que le nouveau régime
persécute. Au cours de la guerre qui suivra, 21 à 23 % de la population de la
région (170 000 personnes environ, surtout femmes, enfants et vieillards)
périra.
Utilisant la méthode du droit pénal international telle qu'elle s'est
développée dans l'analyse des génocides commis en ex-Yougoslavie, au Rwanda,
au Cambodge, sans négliger l'expérience du tribunal de Nuremberg, Jacques
Villemain démontre que ces massacres entrent parfaitement dans la définition
de ce " crime des crimes ".
Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi a-t-on tant de mal en France à regarder
ces faits en face ? Pourquoi serait-il bon de mettre derrière nous cette
tragédie en reconnaissant enfin la nature de ces crimes, et comment le faire
dans des conditions qui honorent notre attachement aux droits de l'homme et
notre unité nationale ?
Une enquête sans précédent.
plaidoyer idéologique, ni relation historique, ce livre consiste dans une
véritable instruction juridique selon les critères mêmes de la justice
internationale. La réparation d'un trou béant dans notre mémoire.
Pourquoi c'est un génocide.
Pourquoi il n'est pas reconnu.
Pourquoi et comment il devrait l'être.
Mars 1793 : la Vendée se soulève pour défendre ses " bons prêtres " et se bat
pour le retour d'un roi qui protégerait cette religion que le nouveau régime
persécute. Au cours de la guerre qui suivra, 21 à 23 % de la population de la
région (170 000 personnes environ, surtout femmes, enfants et vieillards)
périra.
Utilisant la méthode du droit pénal international telle qu'elle s'est
développée dans l'analyse des génocides commis en ex-Yougoslavie, au Rwanda,
au Cambodge, sans négliger l'expérience du tribunal de Nuremberg, Jacques
Villemain démontre que ces massacres entrent parfaitement dans la définition
de ce " crime des crimes ".
Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi a-t-on tant de mal en France à regarder
ces faits en face ? Pourquoi serait-il bon de mettre derrière nous cette
tragédie en reconnaissant enfin la nature de ces crimes, et comment le faire
dans des conditions qui honorent notre attachement aux droits de l'homme et
notre unité nationale ?
Une enquête sans précédent.
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