- EAN13
- 9782228905244
- ISBN
- 978-2-228-90524-4
- Éditeur
- Payot
- Date de publication
- 02/03/2010
- Collection
- PR.PA.PF.DOC. (745)
- Nombre de pages
- 160
- Dimensions
- 17 x 11 x 1,2 cm
- Poids
- 98 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 828.914
- Fiches UNIMARC
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« Je sais désormais que je ne pourrais plus supporter de vivre ailleurs qu'à Paris », écrivait peu après la guerre à son ami Evelyn Waugh l'aînée des excentriques sœurs Mitford (1904-1973). Si ses œuvres sont mondialement célèbres, beaucoup de ses lecteurs ignorent que Nancy habita la capitale française de 1948 à 1966 puis Versailles jusqu'à sa mort, et qu'à sa francophilie naturelle s'ajoutaient des sentiments contrariés pour le gaulliste Gaston Palewski.
Elle publia régulièrement dans divers journaux anglais des chroniques sur la vie parisienne et les Français en général, distillant au fil de la plume autant de causticité que de tendresse − le tout épicé du gène Mitford, c'est-à-dire l'humour. Beaucoup des thèmes évoqués dans ce recueil d'inédits sont d'une étonnante proximité (ainsi la cuisine des prix littéraires ou les embouteillages parisiens), et le livre s'achève sur un journal de mai 1968 qu'on dirait tenu par une ethnologue britannique en pleine jungle.
« Plus que francophile, elle était francolâtre. »
(Jérôme GARCIN, La Provence)
« Cette amoureuse de Paname raconte la capitale française telle une Sévigné à théière. »
(Marc LAMBRON, Le Point).
« Un petit bijou qui ressuscite les années 1950 et 1960. On s'y croirait. » (Le Figaro).
Elle publia régulièrement dans divers journaux anglais des chroniques sur la vie parisienne et les Français en général, distillant au fil de la plume autant de causticité que de tendresse − le tout épicé du gène Mitford, c'est-à-dire l'humour. Beaucoup des thèmes évoqués dans ce recueil d'inédits sont d'une étonnante proximité (ainsi la cuisine des prix littéraires ou les embouteillages parisiens), et le livre s'achève sur un journal de mai 1968 qu'on dirait tenu par une ethnologue britannique en pleine jungle.
« Plus que francophile, elle était francolâtre. »
(Jérôme GARCIN, La Provence)
« Cette amoureuse de Paname raconte la capitale française telle une Sévigné à théière. »
(Marc LAMBRON, Le Point).
« Un petit bijou qui ressuscite les années 1950 et 1960. On s'y croirait. » (Le Figaro).
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