- EAN13
- 9782370890450
- ISBN
- 978-2-37089-045-0
- Éditeur
- Alexandrines
- Date de publication
- 07/06/2017
- Collection
- Le Paris des écrivains
- Nombre de pages
- 112
- Dimensions
- 15,2 x 10,6 x 0,9 cm
- Poids
- 90 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
Baudelaire à Paris, c’est d’abord l’enfant heureux de la rue Hautefeuille, où il est né en avril 1821, puis le collégien du
quartier Latin qui deviendra un jeune dandy, adepte d’une « vie libre » et fréquentant les milieux louches.
Baudelaire à Paris, c’est d’abord l’enfant heureux de la rue Hautefeuille, où il est né en avril 1821, puis le collégien du
quartier Latin qui deviendra un jeune dandy, adepte d’une « vie libre » et fréquentant les milieux louches.
En 1848, sur les barricades du carrefour de Buci et du Palais Royal, Baudelaire est un révolutionnaire exalté et
parodique. Il devient, sous le Second Empire, un flâneur nostalgique – « Le vieux Paris n’est plus », déclare-t-il en 1859,
dans « Le Cygne », un poème des « Tableaux parisiens » – un flâneur doublé d’un observateur, qui épie les « petites
vieilles » à travers les allées du jardin du Luxembourg.
Il aimait le Paris des boulevards, des théâtres, des cafés, le Paris des « multitudes », le Paris de la vie moderne.
Atteint de la « maladie du domicile », il y aura vécu sans jamais s’y établir.
quartier Latin qui deviendra un jeune dandy, adepte d’une « vie libre » et fréquentant les milieux louches.
Baudelaire à Paris, c’est d’abord l’enfant heureux de la rue Hautefeuille, où il est né en avril 1821, puis le collégien du
quartier Latin qui deviendra un jeune dandy, adepte d’une « vie libre » et fréquentant les milieux louches.
En 1848, sur les barricades du carrefour de Buci et du Palais Royal, Baudelaire est un révolutionnaire exalté et
parodique. Il devient, sous le Second Empire, un flâneur nostalgique – « Le vieux Paris n’est plus », déclare-t-il en 1859,
dans « Le Cygne », un poème des « Tableaux parisiens » – un flâneur doublé d’un observateur, qui épie les « petites
vieilles » à travers les allées du jardin du Luxembourg.
Il aimait le Paris des boulevards, des théâtres, des cafés, le Paris des « multitudes », le Paris de la vie moderne.
Atteint de la « maladie du domicile », il y aura vécu sans jamais s’y établir.
S'identifier pour envoyer des commentaires.