- EAN13
- 9791031205083
- Éditeur
- Ateliers Henry Dougier
- Date de publication
- 08/09/2022
- Collection
- Le roman d'un chef d'oeuvre
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Une passion mélancolique selon Frida Kahlo
Christine Frérot
Ateliers Henry Dougier
Le roman d'un chef d'oeuvre
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791031205083
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
4.99
Autre version disponible
Mêlant récit romanesque et enquête historique, l'auteur raconte l'histoire
d'un tableau célèbre.
" Je regarde, ébloui, ému, sa dernière peinture. Elle me subjugue. Je suis là,
moi Diego, dans ses bras, à la fois enfant et adulte. C'est ainsi qu'elle me
voit. Mais l'univers de Frida n'est pas limité à ma personne, je ne suis pas
seulement son mari, son amant, son ami, son enfant ; elle est profondément
attachée au Mexique, son pays natal, sa terre nourricière adorée, à la
végétation tropicale, à l'art précolombien, aux astres et aux chiens sacrés
qu'elle vénère. Cet autoportrait de 1949 me semble être la quintessence de
tout ce qui l'accroche à la vie, un acte de foi, la confession de ses
certitudes. "
Se mettre dans la peau de Diego Rivera pour aborder dans ce récit les rivages
du passé, c'est ne pas oublier la douleur physique de Frida Kahlo, c'est
parler de l'engagement communiste et de la mutuelle admiration pour leur
peinture, c'est aussi décrire leurs pouvoirs de séduction et raconter leurs
liaisons, mais c'est surtout s'attacher à la nature d'un amour partagé et
indestructible.
d'un tableau célèbre.
" Je regarde, ébloui, ému, sa dernière peinture. Elle me subjugue. Je suis là,
moi Diego, dans ses bras, à la fois enfant et adulte. C'est ainsi qu'elle me
voit. Mais l'univers de Frida n'est pas limité à ma personne, je ne suis pas
seulement son mari, son amant, son ami, son enfant ; elle est profondément
attachée au Mexique, son pays natal, sa terre nourricière adorée, à la
végétation tropicale, à l'art précolombien, aux astres et aux chiens sacrés
qu'elle vénère. Cet autoportrait de 1949 me semble être la quintessence de
tout ce qui l'accroche à la vie, un acte de foi, la confession de ses
certitudes. "
Se mettre dans la peau de Diego Rivera pour aborder dans ce récit les rivages
du passé, c'est ne pas oublier la douleur physique de Frida Kahlo, c'est
parler de l'engagement communiste et de la mutuelle admiration pour leur
peinture, c'est aussi décrire leurs pouvoirs de séduction et raconter leurs
liaisons, mais c'est surtout s'attacher à la nature d'un amour partagé et
indestructible.
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