- EAN13
- 9782251915876
- Éditeur
- Les Belles Lettres
- Date de publication
- 26/05/2021
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Autoportrait au Roitelet
Lettres à T.W. Higginson et aux sœurs Norcross 1859-1886, suivi de La Gloire est une abeille, (Choix de poèmes) 1858-1881
Emily Dickinson
Les Belles Lettres
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782251915876
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15.99
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Papier - Belles Lettres 21,50
Voici ma lettre au Monde Qui ne M’a jamais écrit – Les simples Nouvelles que
la Nature disait – Avec une tendre Majesté Emily Dickinson Emily Dickinson
(1830-1886) passe sa vie à Amherst, dans la propriété familiale.Tombe
amoureuse d’un révérend, qui s’enfuit. Elle écrit des poèmes, ne sait pas ce
qu’ils valent (ou fait semblant), prend pour maître un gandin célèbre, Thomas
Wentworth Higginson dont la bêtise – un siècle a passé – irradie comme un
soleil. Les années filant, elle sort de moins en moins, signe ses lettres «
Votre Élève », écrit encore quelques vers, s’intéresse à tout ce qui meurt.
Quand elle commence à écrire aux sœurs Norcross, en 1859, Louise a seize ans,
Frances treize. Vingt ans plus tard, elles n’ont pas grandi, sont pour Emily
les mêmes petites filles imaginaires. Loo a toujours seize ans, Fanny treize.
« Je souhaite que nous soyons enfants, écrit-elle à son frère. Je souhaite que
nous soyons toujours enfants, comment grandir, je ne sais pas. » La partie de
la Correspondance ici traduite – Lettres à T.W. Higginson et aux sœurs
Norcross – n’a pu l’être que grâce au remarquable appareil critique de
l’édition américaine Harvard University Press. Les poèmes que l’on trouvera en
seconde partie de volume parlent d’eux-mêmes.
la Nature disait – Avec une tendre Majesté Emily Dickinson Emily Dickinson
(1830-1886) passe sa vie à Amherst, dans la propriété familiale.Tombe
amoureuse d’un révérend, qui s’enfuit. Elle écrit des poèmes, ne sait pas ce
qu’ils valent (ou fait semblant), prend pour maître un gandin célèbre, Thomas
Wentworth Higginson dont la bêtise – un siècle a passé – irradie comme un
soleil. Les années filant, elle sort de moins en moins, signe ses lettres «
Votre Élève », écrit encore quelques vers, s’intéresse à tout ce qui meurt.
Quand elle commence à écrire aux sœurs Norcross, en 1859, Louise a seize ans,
Frances treize. Vingt ans plus tard, elles n’ont pas grandi, sont pour Emily
les mêmes petites filles imaginaires. Loo a toujours seize ans, Fanny treize.
« Je souhaite que nous soyons enfants, écrit-elle à son frère. Je souhaite que
nous soyons toujours enfants, comment grandir, je ne sais pas. » La partie de
la Correspondance ici traduite – Lettres à T.W. Higginson et aux sœurs
Norcross – n’a pu l’être que grâce au remarquable appareil critique de
l’édition américaine Harvard University Press. Les poèmes que l’on trouvera en
seconde partie de volume parlent d’eux-mêmes.
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