La maison au bout du monde

Åke Edwardson

JC Lattès

  • Conseillé par (Libraire)
    25 novembre 2015

    Réussi !

    Malin en diable et pimenté d’une ambiance toute particulière, "La maison au bout du monde" est un polar prenant à l’intrigue savamment bien menée. Réussi !


  • Conseillé par
    6 octobre 2015

    Erik Winter est un personnage récurrent dans les livres d’Ake Edwardson. Sans avoir lu les précédents opus, j’ai découvert le commissaire Winter. Deux années auparavant, il a échappé de peu à la mort, il a quitté la Suède et est en Espagne avec femme et enfants en Espagne. Mais voilà il a le métier de policier alors il repart en Suède et retrouve son travail ses collègues. A peine arrivé, il doit enquêter sur une affaire qui vient de se produire. Un femme et deux de ses enfants ont été assassinés seul le bébé a été laissé en vie. La famille vivait éloignée dans la campagne et la boîte aux lettre regorgeait des journaux des jours précédents. Et c’est là que ça coince car le bébé serait mort sans boire durant ces plusieurs jours. Qui l’a nourri ? L’époux de la victime à cause de son travail éloigné ne revenait que le week-end mais il s’était disputé récemment avec sa femme.

    Ce roman policier débutait bien mais j’ai trouvé que l’auteur amoncelait trop de pistes potentielles et le dénouement m’est apparue un peu tiré par les cheveux. Mais j’ai apprécié le commissaire Winter, policier non névrosé, et comme dans d'autres polars nordiques, l’auteur pointe du doigt le racisme dans son pays.